Historias del Kronen dresse le portrait d’une génération où l’on peut retrouver les trois formes d’absence définies par Lipovetsky : le désinvestissement, la déterritorialisation et la désubstantiation. Ce roman ébauche la satire d’une société de consommation frénétique puisque toute autre forme de transcendance est absente : si les personnages veulent posséder tant de choses, c’est seulement dans l’espoir de remplir leur vide émotionnel. Le désir sexuel fait partie de leurs exigences. La « cochone » (la femme) est un objet dont le seul rôle est d’assumer une fonction sexuelle. La vie de Carlos se caractérise par son caractère répétitif. Les personnages sont des robots programmés pour répéter éternellement les mêmes gestes.

Historias del Kronen retrata una generación en la que se pueden rastrear tres formas de ausencia ya definidas por Lipovetski : la desinversión, la desterritorialización y la desubstancialización. Se trata de una novela que esboza la sátira de una sociedad de consumo frenético donde no existe ninguna otra forma de trascendencia : si los personajes quieren poseer tantas cosas es sólo con la esperanza de llegar a llenar su vacío emocional. El deseo sexual forma parte también de sus exigencias. La « cerda » (la mujer) es un objeto cuyo único papel es desempeñar una función sexual. La vida de Carlos, el protagonista, se caracteriza por su repetitividad. Los personajes son robots programados para repetir eternamente lo mismo.